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Mon exutoire
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9 décembre 2010

Dans une cacaoyère!

J'ai eu qeulques jours de congés au boulot. çà faisait longtemps que je n'avais plus mis mon pied au village. J'avais envie de respirer de l'air pur et d'écouter le silence. La terre me manquait, mes grand-parents aussi.

On me l'avait présenté le jour de mon arrivée. Il aidait le grand-père à la plantation et ramenait du bois à la grand-mère. Très beau et le regard intelligent, il avait fait des études dans la capitale et était un homme de la nature. Il se disait plus heureux au village qu'il ne l'avait jamais été en ville. La bonne mine qu'il affichait donnait toute raison de le croire.

Ce jour-là j'avais accompagné grand-mère à la plantation. Nous devions commencer à cueillir les cabosses de cacao et en faire des tas pour la récolte. Travail très éreintant. Une heure plus tard, épuisée de fatigue (Je suis et reste une fille de la ville), j'ai décidé de fausser compagnie à mamie et j'ai commencé à déambuler dans la forêt. C'est là que je suis tombée sur lui. Torse nu, trempé de sueur, les muscles saillants, divinement beau malgré ce vieux plantalon de travail troué et couvert de terre. une onde me traversa le corps et mes tétons se durcirent. J'avais sur mon moi un vieux pantalon sous une grande robe et un foulard noué sur les cheveux. Il était là devant moi et défrichait les mauvaises herbes.

Je crois qu'il compris tout de suite dans quel état je me trouvais lorsqu'il posa les yeux sur moi. Je devais avoir l'air d'un chien affamé bavant devont un beau gigot de viande. çà faisait si longtemps, si longtemps que je n'avais pas fais l'amour...

Il posa sa machette et s'avança vers moi. Aucun son, aucun mot. J'étais comme tétanisée, le temps s'était arrêté. Il me caressa la joue et m'embrassa. Un baiser viril et doux en même temps. Je me sentais fléchir, une seconde plus tard nous étions sous un manguier, nus. Des gens pouvaient passer par là. Ma grand-mère devait me chercher et pouvait passer par là. Je ne refléchissais plus. J'étais perdue.

Il m'allongea sur les feuilles mortes et m'écarta  les cuisses. Je mouillais dejà beaucoup. Il me caressa le clitoris du bout de la langue, m'arrachant de petits cris. Ensuite il devient plus vorace, le suçant, le tirant le titillant du bout de la langue, des lèvres. J'étais perdue.

Je voulais lui faire du bien aussi et me mis à genoux devant lui. Son sexe était vraiment impréssionnant. D'une allure presque royale... Je le pris dans ma bouche. Hummm, il sentait bon. Ses poils était doux. Je lui pris les testicules dans la bouche, ce que je n'avais jamais fais avant. Il poussa de petits cris lui aussi, j'étais satisfaite.

Ne tenant plu, il me retourna me mettent à quatres pattes et du bout du gland, vint caresser mon clitoris avant de s'enfoncer en moi. Hummmm, je me le remémore encore en écrivant ceci. Pur bonheur. J'étais perdue.

Il allait et venait et moi je criais de plus en plus fort, il du me mettre la main sur la bouche pour étoufer mes cris. Il me mis ensuite debout, les mains appuyées sur le tronc du manguier. Les jambes écartées et lui derrière continuant d'entrer et sortir. Je n'arrêtais pas de mouiller, j'avais ce jus qui me coulait sur les cuisses, je n'en revenais pas de ce qui m'arrivait. J'étais perdue.

Il me souleva ensuite, et je nouais mes jambes autour de sa taille. Son penis allait en moi profond, très profond. J'ai du m'évanouir de jouissance quelques secondes mais il était toujours là, toujours aussi puissant.

Il me reposa et me soulevant une jambe tandis que l'autre était toujours au sol, il continua. Une nouvelle fois l'onde de l'orgasme me parcouru. Je commençais à fatiguer, me demandant quand ce serait enfin son tour. Il continuait, je sentait son pénis qui cognait, cognait... Voyant que je ne tenais plus debout, il me fit coucher, me soulevant les jambes jusqu'au niveau du visage et il...Oh! C'était...C'était si bon! Je sens monter un autre orgasme rien de me le remémorer...

Quand enfin il jouit, en faisant gicler des litres de sperme à l'intérieur de moi, je compris à quel point mon village m'avait manqué.

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  • Ici, je l'espère je pourrais tout dire, sans jugement, sans angoisse, sans peur. Ici, je veux bien me livrer, des fois en vers, d'autres en prose. Ici, je l'espère je pourrais trouver la paix, enfin.
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